Description
Dans ce premier recueil de poèmes, Claudie Gignac écrit: mon pays ce n’est pas celui de la violence et de la passion
mais celui des formes tamisées par la lumière mordorante du soir alors que bougent les eaux de la mémoire, faisant apparaître l’image aimée de la mère, celle de l’homme en allé, celle du rêve, cet ultime refuge quand le corps habité a mal, se questionne et ne paraît pas trouver les bonnes réponses.
Ecrire la femme, dire la beauté, écrire pour me donner enfin un nom
ajoute Claudie Gignac, dans une poésie toute en nuances mais pleine de ce désir qui bat comme un coeur dans l’espace des mots. C’est chaud, intense et syncopé comme la musique sait parfois l’être. Et c’est aussi d’un lumineux dépouillement, simple comme la vie ne l’est pas souvent: J’écris le matin la blancheur des murs.
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