Description
Dans un précédent ouvrage, Si on parlait d’amour, paru aux Editions Trois-Pistoles au printemps 2011, Thibault et Bertrand avaient surpris le lectorat et la critique avec une oeuvre à quatre mains portant sur le thème de l’amour, l’écrivain et le philosophe entretenant une passionnante correspondance ayant pour fil conducteur les amours naissantes de Louis (Martin Thibault) et de sa Marianne. De drôles de bêtes reprend cette formule du dialogue épistolaire entre l’écrivain et le philosophe, cette fois-ci au lendemain de la difficile rupture entre Louis et Marianne. Et c’est la mort dans l’âme que Louis voudra approfondir le sens réel de la mort, s’entretenant à ce sujet avec ceux et celles de son entourage et faisant correspondance régulière avec son ami Vincent (le philosophe Pierre Bertrand).
Dans De drôles de bêtes s’expriment toute la sensibilité du poète et romancier Martin Thibault ainsi que toute la délicatesse et la profondeur du philosophe Pierre Bertrand. Qui sont ces « drôles de bêtes » sinon nous-mêmes aux prises avec cette inconnue qui chemine avec nous depuis la naissance.
Un thème délicat que celui de la mort, que Martin Thibault et Pierre Bertrand abordent avec une belle intelligence, sans lourdeur, en allant profond là où ça compte.
